5ème vente d'œuvres d'art contemporain
DEVENIR MEMBRE
FAZASOMA est une association humanitaire qui lutte contre le paupérisme à Madagascar, particulièrement auprès des enfants et de vieillards.
Aujourd’hui, FAZASOMA permet de scolariser et nourrir près de 1000 enfants et aide quotidiennement 200 adultes.
Quand on sait que 12 centimes d’Euro ici permettent de nourrir un enfant là-bas, on ne doute plus :
« un peu de ton petit peu est beaucoup pour eux ».
HISTORIQUE
FAZASOMA a été crée en 1996 par Francine et Claude, après le choc reçu au cours d‘un voyage à Madagascar. Elles en sont revenues avec la rage et la volonté d’agir contre la misère et l’injustice:
80% des habitants vivent avec moins d’un euro par jour,
42%º de mortalité infantile,
beaucoup de corruption et de laissés pour compte dans un système politique totalement instable.
Euro après euro, année après année, toutes les petites sommes collectées auprès des amis, des proches et des donateurs réguliers sont devenues quelque chose de solide, d'intelligent, porteur et durable sur place à Madagascar :
des grandes maisons, des grandes marmites, des habits, des soins, la scolarisation, des puits, des cantines… et surtout des personnes impliquées et fiables et un tissu social en développement permanent.
Toutes les sommes récoltées sont utilisées sur place, les bénévoles prenant en charge personnellement les frais de fonctionnement de l’association.
Sans adhérents, l'association vit grâce aux donateurs réguliers ou ponctuels (Nous aider et Contact) et aux bénévoles qui créent des actions en France pour récolter des fonds: Actions en France.
Aujourd’hui, par le biais de personnes ressources et de confiance à Madagascar, FAZASOMA permet de scolariser et nourrir près de 1000 enfants et aide quotidiennement 200 adultes : Actions à Madagascar.
Même si les années passent et que la situation semble parfois désespérément figée à Madagascar, l’objectif des bénévoles et des donateurs reste le même : faire durer et vivre le travail entamé il y a plus de 20 ans auprès des plus pauvres des pauvres par deux « mémés bourlingueuses » qui ont refusé de rester les bras croisés.